Prise de poste et syndrome de l’imposteur : comment retrouver sa légitimité ?
- veroniqueehrwein
- 21 avr.
- 2 min de lecture
Nouveau poste. Nouvelle mission. Nouvelle équipe. Et parfois… cette petite voix qui dit : “Je ne suis pas légitime.” Le syndrome de l’imposteur se glisse souvent dans ces moments où tout change. Pourtant, ce n’est pas un signe d’incompétence. C’est le signe que l’on cherche à bien faire, à être à la hauteur. Bonne nouvelle : il est possible de dépasser cet état !
Ce que dit (et cache) le syndrome de l’imposteur
Peur de ne pas être assez. D’être “démasqué(e)”. De ne pas mériter sa place. Derrière ces pensées, il y a souvent une exigence forte, un manque de reconnaissance intérieure, et parfois une croyance ancienne. C’est encore plus vrai quand on prend un nouveau rôle : tout est encore à construire.
4 clés pour retrouver sa place
✔️ 1. Reconnaître ses réussites passées
Avant de se projeter, revenir à ce qu’on a déjà accompli, même si cela peut sembler évident ou ancien.
✔️ 2. Clarifier sa mission, ses intentions
Se reconnecter à pourquoi on a accepté ce poste. Qu’est-ce que je veux y apporter ? Qu’est-ce que cela représente pour moi ?
✔️ 3. Transformer le regard sur l’échec
Ne pas tout savoir dès le départ ne veut pas dire que l’on est incompétent(e). C’est une phase d’apprentissage naturelle.
✔️ 4. S’ouvrir au regard des autres
Les feedbacks, positifs comme constructifs, sont des points d’ancrage précieux. Ils aident à ajuster sa posture sans perdre sa valeur. Ils contribuent à renforcer la confiance en soi.
Et si le doute devenait un levier ?
Le doute ne doit pas nous figer. Il peut devenir un moteur de conscience et d’évolution, à condition de ne pas le laisser seul aux commandes.
Et parfois, un accompagnement bienveillant peut aider à le transformer en confiance solide.
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